Un vide (Chapelle catholique, Quartiers autour)

"Bonjour cher bel inconnu,je voie que vous parler a Dieu"

jarik entra dans la chapelle et cria avec ferocité en claquant la porte derriere lui:

'SIR VIPER EST T'IL L'À!!!'

La nymphe était agenouillé devant l'hotel de la chapelle, s'apprêtant à sacrifier un cygne blanc. Elle n'était pas dévoué à ce dieu chrétien mais elle savait que Zeus son père l'entendrait dans ce lieu sacré. Personne ne l'avait encore vu et encore moins porté attention, ce qu'elle appréciait. Par contre l'homme qui venait d'entré l'avait fait sursauté et elle avait lâché le cygne qui s'enfuit sans demander son reste. Furieuse elle se retourna devant l'homme.

"Il vient de partir, il doit être à cent lieux d'ici à cette heure! Et pouvez-vous être moins bruyant le cygne vient de s'enfuir!"

Elle observa l'homme, il semblait lui être inconnu. Myréiss ne l'avait point apperçu dans les bois. Sa carrure était impressionnante, même effrayante.

*J'ai vraiment le don d'être furieuse contre les colosses.*

Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle, quelques plumes planches traînaient sur l'hotel avec son poignard sacrifiaire, au moins elle avait une arme.

En regardant la scene avec stupefaction jarik se tourna vers l'etrangere pour ensuite lui dire:

'désolé ma chere je ne voulais point vous efrailler et votre volaille n'étais pas rendue si loin , tenez la voici.'

Myréiss regarda l'homme surprise de sa réponse. Le cygne se trouvait en effet près de lui, il le frôlait même! Elle prit son poignard et avança en direction de l'intrus. Elle jeta un regard cygne puis releva ses yeux sur Jarik, elle était près de lui, moins de deux mètres la séparait de l'homme.

*Que fait-il ici lui? Et pour qui il se prend?*

"Ah oui! Merci pour mon cygne, dit-elle sarcastiquement. Maitenant il ne vaut plus rien puisqu'il a toucher à vos vêtements impures qui touchent à votre peau parjureuse. Merci d'avoir salit le présent que j'offrais à Zeus."

La nymphe continua son chemin rapidement contourna l'homme et se dirigea vers la sortie, furieuse. Mais elle se ravisa, elle s'arrêta et lui dit:

"Pardonnez-moi de m'être laisser emporter, vil humain."

La fille de Zeus marcha vers la sortie d'un pas lèger mais colérique.